Les ONG se mobilisent trois ans après l’affaire Pegasus
Trois ans après l’affaire Pegasus, un rappel est nécessaire. En 2018, un scandale international éclate lorsque le logiciel espion Pegasus est découvert. Ce programme, développé par l’entreprise israélienne NSO Group, avait la capacité de prendre le contrôle total d’un smartphone, y compris l’accès à des informations personnelles sensibles. Aujourd’hui, une trentaine d’ONG tirent de nouvelles alarmes et demandent à l’Europe d’adopter une ligne dure.
Appel à l’interdiction des logiciels espions en Europe
Après avoir été la cible potentielle du logiciel espion Pegasus, une trentaine d’ONG, dont Amnesty International et Human Rights Watch, demandent à l’Europe d’interdire les logiciels espions. Cette législation aiderait à protéger les informations personnelles des citoyens de l’UE contre de telles atteintes à la vie privée.
L’affaire Pegasus: un tournant dans la sensibilisation à la vie privée
L’affaire Pegasus a mis en lumière l’ampleur de la surveillance qui peut être réalisée via un smartphone et les conséquences potentiellement graves en termes de droit à la vie privée. Pour les ONG, ce logiciel espion est le symbole de ces menaces qui pèsent sur les libertés individuelles et appellent à une régulation plus stricte par l’Europe.
La réponse de l’Europe répond à cette problématique
Alors que les négociations concernant le règlement ePrivacy sont en cours, les ONG espèrent que l’Europe établira des règles strictes concernant l’utilisation et la commercialisation de ces logiciels espions. Elles appellent également à une plus grande transparence et responsabilité des entreprises dans cet écosystème, un pas important vers un cyberespace plus sûr.
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